Édifices menaçant ruine : vérifier la qualité des propriétaires des biens avant de prendre un arrêté de péril Abonnés
Le maire prend ensuite un arrêté de péril non imminent, enjoignant à l’administré de prendre diverses mesures pour mettre fin à des renflements du mur quelques mètres plus loin. Le maire s’appuie sur un devis d’une entreprise de maçonnerie, qui s’élève à 300 000 euros.
L’administré conteste ce second arrêté : il n’est pas propriétaire de la portion du mur concernée et produit différents documents pour le prouver. Les juges annulent ce second arrêté.
Conseil : s’assurer de la qualité de propriétaire des biens visés par un arrêté de péril.
CAA de Versailles, n° 18VE03152, 17/11/2020.
Jean-Philippe Vaudrey le 21 janvier 2021 - n°61 de Police municipale et Pouvoirs de police du maire
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